j’ai tant apprivoisé la nuit
que je n’en crains pas les dédales
j’y trouve toujours un sentier
pour cheminer un peu plus loin
et j’y entends les arbres doux
qui conversent avec les étoiles
et qui lorsque arrive l’aurore
abritent mille voix d’oiseaux
j’ai tant apprivoisé la mer
que je n’en crains pas les sirènes
ni les écueils ni les naufrages
j’y trouve toujours un rivage
et j’y entends chanter les pierres
sous la caresse des marées
et les baleines de passage
à l’horizon des archipels
ma terre d’âme où se rejoignent
les forêts et les champs de blé
les esprits de la poésie
dansant sur les lignes de vie
enfances insoumises et libres
que nul ne pourra mettre en cage
© Francine Hamelin (Transpercer le ciel)
J’aime terriblement ce poème…
C’est un rivage élu…
Merci Francine
Je t’embrasse très fort
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merci à toi Barbara
je t’embrasse très très fort
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La poésie est dans chaque brique de ta nuit.
Elle jaillit derrière chacun de tes mots.
Belle journée,
Bises
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Un grand merci à toi, Régis 💙
bises 😘
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La liberté dans la lumière des étoiles
un chemin merveilleux
c’est très beau
Merci Francine
je t’embrasse très fort
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Merci à toi, Pierre
je t’embrasse très fort aussi
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⭐🌟⭐🌟⭐
Un bonheur Francine, Merci 👏
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Je suis touchée. Grand merci à toi, Eveline. 😊🙏🏼💙💙
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