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Archives de catégorie : Pour dire mon pays et ceux qui l’habitent
À regarder par la fenêtre… (reprise)
à regarder par la fenêtre le jour qui vient à pas de soie on entend des voix dans la rue un enfant qui parle de rêve ce soir il neigera peut-être le piano est silencieux une autre musique renaît comme … Lire la suite
M’entendrez-vous demain…
m’entendrez-vous demain alors qu’au creux du temps je parlerai parfois d’un vol d’oiseaux sauvages vous serez partis peut-être et je ne sais si mes mots sauront encore chanter la liberté des astres l’enlacement des rivières vous serez ici peut-être … Lire la suite
Feuillage
j’écoute le feuillage parler de jardins suspendus entre fougères et futaies j’écoute le bois en cascades de sève et de pollen parler de mousses et de parfums l’arbre augure la forêt © Francine Hamelin (tiré de Pour dire … Lire la suite
Au coeur des Amériques
au coeur des Amériques longues et brûlantes de cendres je dis mon pays de roses calcinées en mémoire de blé avec ses rêves d’eau et ses chemins perdus des secrètes aurores aux villes solitaires © Francine Hamelin (tiré … Lire la suite
Aigue-marine
l’oiseau fluide médite son envol avec en ses prunelles une impalpable profondeur un message d’eau et de sel bel oiseau criblé d’ondes odorantes imprégné de varech aux îles soudaines et comme attendues bel oiseau aux ailes ruisselantes comme une … Lire la suite
Enfance de jade
tu traces des rivières et des ponts comme des colliers d’ambre rouge tu dessines le monde en cri de jardins et de broussailles et tu y plantes tes dix doigts comme des racines d’émail tu y fleuris tes deux mains … Lire la suite
Matin intemporel
ce matin je me suis noyée de soleil et de vent j’avais des roses dans la tête des hirondelles au bord du cœur j’ai bu le sang des oranges qui avaient poussé dans les buissons de sable ardent d’un monde … Lire la suite
Givre
le temps prend doucement langage de ses presque-neiges j’ai repeuplé d’eau et de bois mes pays longs comme lichens avec l’étoile et la toundra avec le vent avec l’aurore j’ai rassemblé les vastes solitudes dans la main du rêve ô … Lire la suite
Le siècle secret
j’ai à mes yeux de sable un arbre océanique à mes pays un fleuve éclaté d’univers à mes rosiers la terre des demeures sacrées au centre de mes bras le nom de mes amis et dans l’envoûtement des propices saisons … Lire la suite
Chaque douleur…
chaque douleur sans l’univers sens-la en toi comme une pierre chaque joie porte-la en toi comme une lumière infinie au soleil du temps apaisé © Francine Hamelin (tiré de Pour dire mon pays et ceux qui l’habitent)
À regarder par la fenêtre…
à regarder par la fenêtre le jour qui vient à pas de soie on entend des voix dans la rue un enfant qui parle de rêve ce soir il neigera peut-être le piano est silencieux une autre musique renaît comme … Lire la suite