Archives de catégorie : Les routes buissonnières

il est un lieu où tout s’arrête les balises du temps comme les pas perdus les foules sans visage les déserts de l’oubli il est un lieu sans exil ancré tout au creux du silence et dans la pierre de … Lire la suite →

à la porte de ces pays où mon âme vagabonde j’ai laissé les ombres et leurs peines grises elles n’ont pas la clé de mon rêve et je n’ai plus de larmes pour pleurer sur les morts ou sur les … Lire la suite →

aux méandres d’un été calciné de soleil reste toujours ce souffle porteur de grand large j’aspire à l’océan d’un silence sans failles celui-là qui contient toutes les harmoniques comme pierre qui vibre   violoncelle du temps comme un arbre qui … Lire la suite →

un jour j’irai doucement vers la mer traverserai les sables et les temps jusqu’au chant rebelle des enfances de sel je franchirai le seuil des horizons dessinerai des pays sans peine dans les courbes du bleu où des oiseaux d’écume … Lire la suite →

un esprit en équilibre sur le vol d’un oiseau traverse la lumière d’un presque crépuscule et le jour qui décline est couleur d’horizon couleur d’enfance   mon âme là où je suis toujours chez moi couleur de rêve   mon … Lire la suite →

poétiques mathématiques des résonances codes d’étoiles dans nos veines cordes quantiques de toutes les existences alchimie incessante de tous les possibles et de tous les improbables équations à multiples inconnues croisées aux carrefours des infinis et notre singularité nue dans … Lire la suite →

je resterai fidèle aux oiseaux de passage qui me partageront le cours de leur voyage et la passion du bleu qui toujours les habitent et cet amour des arbres qui accueillent leurs chants je resterai la louve des routes buissonnières … Lire la suite →

combien d’exils combien de poussière combien de guerres combien d’humains sur les routes de la faim sur les chemins d’un monde qui rétrécit la mer monte © Francine Hamelin (Les routes buissonnières)

j’écris dans cet envers du temps où l’enfance résiste sur les chemins des racines sur le parchemin des écorces et des hautes saisons du cœur j’écris les mots de sève vive nul oracle pour me dire où m’emportera la liberté … Lire la suite →

j’ai des racines mais pas de race sans drapeau sur la terre que j’aime à contre-courant des horloges frénétiques et des bavardages du vide ah laissez-moi à ce pays de silence où accueillir les jours et les nuits et les … Lire la suite →