quand le ciel même s’incline
pour accueillir l’oiseau
quand la mer s’équinoxe
de grands soleils liquides
quand l’enfance renverse
les murailles aveugles
quand les heures s’arrêtent
pour regarder le vent
quand les arbres bleus chantent
au rythme du silence
quand une pierre s’émeut
d’un sentier inconnu
quand toutes les rivières
rejoignent les deltas
quand l’océan revient
à la source première
nos âmes dansent encore
sur les chemins qui rêvent
et j’ai écrit ton nom
sur le grand bouleau blanc
© Francine Hamelin (Saisons murmurantes)
Une danse ininterrompue…
C’est très beau….
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comme danse la vie même…
merci Barbara
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