il y aura une fête au bout de nos saisons
comme un bruissement d’ailes
dans le jour enluminé de vent
il y aura un printemps vaste comme la terre
il y aura un printemps dans l’infini des choses
au songe des maisons
il y aura nos victoires
il y aura nos défaites
ce que nous aurions voulu vivre
et ce que nous vivrons peut-être
nous passerons comme le vent
nul ne se souviendra de nous
mais qu’importe ah qu’importe
puisque le monde est un jardin
peuplé d’oiseaux
© Francine Hamelin (Comme aux jours de lumière)
Un vaste jardin oui….
C’est beau….
Je t’embrasse…
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Merci, Barbara
💙💙💙
Je t’embrasse itou
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🐦🐦🐦🐦🐦🐦🐦🙏🏻💛🧡💛🧡
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Merci, Eveline. 😊💙
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Merci, ce poème entraîne vers l’avenir, et oui qu’importe… très bonne journée, louise salmone
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