bien sûr
je suis si peu dans l’infini des mondes
fragile oh fragile comme verre
si éphémère
poussière du chemin où je pose mes pas
atome de sel dans mille océans
je durerai moins que les pierres
mais les pierres
elles
les pierres jamais ne sauront
le parfum d’une rose
celui du foin d’odeur froissé entre mes doigts
la couleur des lilas
la douceur des pommiers en fleurs
le rêve dans tes yeux comme un jardin sauvage
où je me perds encore pour mieux te retrouver
© Francine Hamelin (Cosmogonies)
Peut-être qu’elles le sauront puisqu’elles t’entendent…
Magnifique
Merci Francine
Je t’embrasse très très fort
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c’est moi qui te remercie, Barbara
Je t’embrasse très très fort aussi
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Excellent post
Thanks
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Sensibilité…
Il est très très beau ton poème, Francine.
Merci!
Bises
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grand merci à toi Diane
bises
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Magnifique poème Francine 💖💙🌬
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grand merci Eveline
belle journée et bises 😊💙🙏
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