il est des déraisons douces comme rivière
d’un éternel été où le soleil s’affaire
à tisser d’or liquide les arbres envoûtants
un moment suspendu dans l’éternité bleue
d’un ciel d’oiseaux furtifs qui retournent à la mer
avec le feu des sources où naissent les voyages
et dans un jardin fou où rêve le silence
dans l’infinie saison où nos âmes s’enlacent
il est des déraisons belles comme une rose
© Francine Hamelin (Traversée boréale)
On devait toujours être déraisonnable de cette façon…
Magnifique.
Merci Francine.
Je t’embrasse très très fort.
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merci Barbara
je t’embrasse très très fort
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