voyageurs immobiles
qui voyagent pourtant
arbres rêveurs d’étoiles
sur les ailes du vent
protecteurs des enfances
et des chemins vivants
en vous j’ai mon refuge
dans le chant des racines
ma folie toute bleue
comme la poésie
et comme un cœur d’oiseau
qui retrouve les îles
comme un pays possible
au-delà de la nuit
où mon âme respire
dans le temps aboli
il n’est plus grand voyage
que le rêve des arbres
© Francine Hamelin (tiré de Les routes buissonnières)
Une folie toute bleue contre une autre, je t’embrasse
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merci, Barbara.
Je t’embrasse aussi.
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le rêve des arbres…
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il m’habite…
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