voyage immobile
où les aveugles mènent la danse
et les menteurs la cadence
dérisoires gesticulations
d’une espèce décadente
qui sème des ruines
sur son passage
nous sommes au bout de la chaîne du vivant
et nous en brisons tous les maillons
© Francine Hamelin (Chants d’un siècle passager)
Hélas oui…
Superbe
Merci Francine
Je t’embrasse très très fort
J’aimeAimé par 1 personne
merci Barbara
je t’embrasse très très fort aussi
J’aimeJ’aime
Vrai!
Et ton poème est aussi beau et grand de vérité…
Merci pour tous ces mots à le dire si bien, Francine!
Bises
J’aimeAimé par 1 personne
il y a des choses qu’il faut dire encore, même si les mots sont dérisoires face à l’immense bêtise de ce monde…
merci à toi Diane
bises itou
J’aimeAimé par 1 personne
Vrai, encore, Francine!
Je suis tout à fait d’accord.
Il ne faut ni cesser de répéter, ni s’arrêter de tenter de faire une différence, si minime soit-elle, malgré tousssss les malgrésssss.
Soyons!!!
J’aimeAimé par 1 personne
….l’aile d’un papillon….
merci Diane
bonne soirée et bises
J’aimeAimé par 1 personne
…Oui…
Merci beaucoup Francine!
Agréable soirée à toi aussi!
Bises
J’aimeAimé par 1 personne
Merci Francine pour tes mots si justes 🙏
J’aimeAimé par 1 personne
merci à toi Eveline
bises 💙🙏😘
J’aimeJ’aime