dans l’envers du monde
en ce pays de nous
en ce pays où il n’est rien d’inutile
où il n’est d’évidence
que celle de nos terres d’âme
et de nos paysages sans balises
nos mains effleurent le ciel
y dessinent de mémoire un oiseau
qui de l’ardoise des nuages
fait une ode bleue
comme l’enfance solaire
dans l’envers du monde
où silence et parole sont intègres comme un arbre
nos âmes entrelacées aux racines du rêve
savent la poésie des choses simples
dans la fragilité de nos corps
et la force libre de nos chants
© Francine Hamelin (Saisons murmurantes)
Un bien beau pays d’âme…
Merci Francine
Je t’embrasse
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merci Barbara
je t’embrasse aussi
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