dans le silence argentin de l’aube
je trace au creux de ta main
des chemins de traverse
pour transcender le temps
je ne sais que ces chemins rebelles
où l’éternité
sème des mystères et des roses
où s’abolissent les géographies
pour ne laisser que le paysage
et le cœur visible
et c’est la terre qui nous porte ainsi
mon âme
c’est la terre qui nous aime et qui nous rêve aussi
dans la saison profonde
de nos regards émus
© Francine Hamelin (La maison des oiseaux)
Seuls ces chemins rebelles savent…
Que j aime ce poème
Merci Francine
Je t embrasse
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Un grand merci à toi, Barbara
Je t’embrasse aussi
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