sortir de la grande blessure du monde
des ombres vénéneuses
des geôles de la peur
ouvrir grandes les fenêtres
sur l’océan du cœur
laisser entrer le grand large
là où seule compte l’âme
dans les marées d’herbes hautes
et les courants bleus de l’envol
sortir de la grande douleur du monde
des ténébreuses illusions
du mensonge des dieux dérisoires
ouvrir grandes les portes des demeures
sur l’espace du rêve
laisser entrer le vent de l’enfance
et puis prendre en riant
la route de l’impermanence
© Francine Hamelin (Le voyage inachevé)
Ah que j’aime….
Bonne journée Francine
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Merci, Barbara.
Je t’embrasse
💙💙💙
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Ping : page 31. Des mots inspirés par vos mots, vos articles… – Sur le fil, à la lisière du rêve et de la réalité, j’avance et je partage ici mes créations et mes surprises du jour.
💙
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ouvrir grandes les portes des demeures
sur l’espace du rêve
laisser entrer le vent de l’enfance🌟🌟🌟🌟🌟
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Merci, Eveline. 🙏🏽😘
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