j’ai recueilli au matin des éclats d’étoiles
que la marée a laissés sur les battures du rêve
au reflux de la nuit
pour toi enfant rebelle qui magnifie la beauté
et le chant inépuisable du cœur
à l’orient du temps le ciel s’est noyé dans la mer
a laissé des archipels d’abondance multicolore
où les âmes s’épousent au plus près de la terre et du feu
j’ai vu passer les vols de bernaches
l’automne a dévêtu les arbres
et le ciel est partout
© Francine Hamelin (Transpercer le ciel)
Le ciel est partout…
un sein paisible, ô guérets, se soulève…
C’est beau….
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le ciel est partout
et le rêve grandit
Merci Barbara.
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ça c’est vraiment beau
et d’une infinie tendresse
Merci Francine
Je t’embrasse
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Merci, Pierre.
Et il en faut de la tendresse dans ce monde de brutes!
Je t’embrasse.
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C’est vrai
c’est cruellement vrai
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oui, le ciel est partout
autour des arbres qui rougissent
avant que de se dévêtir…
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