et ce temps qu’il me reste
qui me reste étranger
dans ses dimensions horlogères
ici
une autre route
à l’envers des raisons
et des engrenages
d’une réalité de l’absurde
ici
un autre pas
dans l’éternel éphémère
avec ma solitude voyageuse
me voici
passagère clandestine
d’un aller sans retour
sans ornières
et sans regret
vers le grand silence
en marge du prévisible
l’enfance trace
à l’encre invisible
des cartes changeantes
vers le grand bleu
où repose l’âme nue
des oiseaux
© Francine Hamelin (tiré de Les routes buissonnières)
C’est très beau
Je t’embrasse MVL
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Merci…
Je t’embrasse itou JM
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J’aime infiniment ce que tu écris car tu mets à jour ta belle âme 🙂
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Merci, France.
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Encre invisible et mémoire d’âme nue
Et ce galop de sanglots parfois et clandestin …
Merci Francine
Je t’embrasse
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à l’encre invisible sont tracés les mots du silence…
Merci, Pierre
Je t’embrasse aussi.
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