au carrefour des hasards et des routes
trouverai-je la mer et sa danse intemporelle
un rivage où poser pour un moment
la fatigue du voyage
et la douleur qui parfois rôde
dans les méandres de l’existence
et dans le corps de la Terre
au carrefour des éternités provisoires
et des horizons qui vagabondent
trouverai-je le sillage d’une aile
comme un signe tracé dans le bleu
un chemin inconnu pour la suite des choses
pour ne jamais perdre de vue l’essentiel
pour que perdure le chant de l’oiseau
pour qu’au-delà des pays perdus
se prolonge l’envoûtante musique
dans l’âme des enfants
dans la mémoire des pierres
les veines des arbres
et les racines du rêve
© Francine Hamelin (tiré de Chants d’un siècle passager)
Terrienne avec ses rêves de mer…
Comme beaucoup d’entre nous…Pourquoi cet aboutissement maritime toujours…
C’est très beau
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Peut-être pour retourner aux origines…
Merci , Barbara.
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beau, très beau comme un voyage intérieur…
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Merci, Laurence…
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Magnifique poésie qui entre dans la peau et laisse sur son passage des frissons
qui voyagent jusqu’au coeur.
De toute beauté Francine.
J’ai aimé, entre autres :
» pour qu’au-delà des pays perdus se prolonge l’envoûtante musique
dans l’âme des enfants, dans la mémoire des pierres,
les veines des arbres et les racines du rêve. »
Bonne fin de journée
À bientôt
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Merci beaucoup, Manouchka. Je suis touchée…
🌹🦋
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J’aime plonger « dans la mémoire des pierres,
les veines des arbres et les racines du rêve ».
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Merci, Jama! 💙💚
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